Le parcours de votre coach
Ségolène Schneider est ce qu’on appelle au Japon une « gaïjin », une personne de l’extérieur. Pourtant, elle y est arrivée sans visa ni passeport puisque que c’est là qu’elle est née, à Tokyo plus précisément. « Mariko-san », comme l’appellent ses amis japonais, en garde l’amour des inari-sushi et du sashimi ! Le Japon est le pays de son enfance : c’est là qu’elle grandit jusqu’à ses 14 ans, avec un passage de quelques années en France. La famille nombreuse dont elle est l’aînée habite ensuite la Chine et la Roumanie, ce qui permet à Ségolène de cultiver son esprit d’ouverture et de bienveillance.
Cette Française de l’étranger, bilingue anglais car instruite dans des écoles et lycées en langue anglaise, rentre ensuite à Paris pour une formation dans une École de commerce (Institut Supérieur Européen de Gestion – Paris). Mais son cursus en Management et Affaires internationales l’amène à nouveau en Chine, en Allemagne et aux États-Unis, cette fois comme cadre en entreprise. La pratique des langues étrangères, la découverte de nouvelles cultures et les techniques de communication sont les moteurs de sa carrière professionnelle. Ressentant le besoin de revenir aux sources de sa généalogie, la globe-trotteuse rentre à nouveau en Europe. L’Italie lui révèle pour un an ses charmes et ses racines, et la France sa gastronomie et son terroir. Elle épouse un Français avec qui elle a 6 enfants.
Créative et pédagogue, elle se lance dans des années d’école à la maison pour quelques enfants précoces tout en reprenant des études de Conseillère conjugale et familiale (CLER Amour et Famille). Elle cultive la gratitude et pratique la psychologie positive. Elle se forme aux ateliers Faber & Mazlish et à la communication non violente (CNV) et se base sur les travaux de Gary Chapman, Ross Campbell, Marshall Rosenberg, Martin Seligman, Thomas d’Ansembourg, Jean-Paul II, Maria Montessori, Pascal Ide, Viktor E. Frankl, John Gray, John Eldredge, Libby Purves et d’autres.
Pour ses clients en souffrance émotionnelle (phobies, angoisses, inhibitions, dépression, irritabilité…), elle se forme en Régulation Émotionnelle auprès de Luc Nicon de l’Association TIPI. Cela permet la libération des blocages sensoriels qui gâchent la vie quotidienne. Elle est passionnée de théologie et d’anthropologie. Elle suit de près les débats touchant à la dignité et au développement de la personne humaine dans toutes ses dimensions auprès d’institutions internationales comme l’Unesco et l’Union européenne. Influencée par son quotidien de mère-épouse-étudiante et touchée par les blessures et les interrogations de sa clientèle, elle consacre son mémoire de fin d’étude au burn-out, notamment maternel.
Puis elle choisit de devenir Coach professionnelle par goût de l’action constructive, avec l’Institut de Coaching International de Genève.
C’est auprès du Parental Burnout Institute de l’Université Catholique de Louvain qu’elle continue en 2020 sa spécialisation pour traiter le Burnout Parental.
Elle propose des séances individuelles, ou en couple, et en entreprise. Cela se passe au cabinet, au sein de l’entreprise, par web ou le plus souvent par téléphone. Des ateliers sont en cours de développement.
Son accompagnement en coaching permet à ses clients de ressentir de vrais « déclics intérieurs ».